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Résumé :
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Quatre ans après l’ouverture à la concurrence des trains à grande vitesse, seules l’italienne Trenitalia et l’espagnole Renfe se sont mises sur les rails. Notre journaliste a testé leurs trains lors d’un Paris-Lyon et d’un Lyon-Nîmes. L’Autorité de régulation des transports (ART) a fait le bilan sur 1 an de Paris-Lyon avec concurrence : 10 % de trains supplémentaires ont été proposés, pour 10 % de voyageurs de plus, et pour un tarif inférieur de 10 %. Que Choisir a enquêté pour comprendre les raisons de cette trop timide ouverture : le coût trop onéreux du péage ferroviaire français ainsi que le manque de trains et de rames (y compris pour la SNCF) sont pointés du doigt. L’article fait état de projets misant sur des gares mal desservies, par exemple. Un focus explique la nécessité du déploiement d’autres sites comparateurs que SNCF Connect afin de proposer clairement toutes les offres des différentes compagnies.
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