Résumé :
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En 2019, 9,2 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté monétaire en France métropolitaine, soit 14,6%, dont un enfant sur cinq, soit 20% (sources : Insee et Unicef). Les personnes pauvres sont invisibles, absentes des structures de loisirs. Pour autant, les discours populistes les plus extrêmes se font entendre : "Les pauvres coûtent un pognon de dingue !" ; "S'ils sont pauvres, c'est de leur faute..." ; "Les pauvres sont des fraudeurs..." N'y a-t-il pas urgence à déconstruire ces préjugés afin de comprendre les causes de ces inégalités et à chercher des solutions pour les réduire, au nom de nos valeurs républicaines de liberté, d'égalité et de fraternité ? L'occasion également pour les animateurs de s'interroger sur leurs pratiques et leurs projets en direction des publics les plus précaires. [Présentation de l'éditeur]
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