Résumé :
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Durer dans le travail social ne serait pas le résultat d’une répétition d’épreuves, mais plutôt le fruit de relations sans cesse renouvelées dans la durée. La perceptude, qui correspond à la transe hypnotique, pourrait constituer une ressource pour les travailleurs sociaux moyennant un apprentissage. L’autohypnose serait alors de nature à les soutenir dans le flux de leur activité, envisagée comme le creuset d’où émerge le savoir-faire. Elle pourrait ainsi constituer une alternative à la traditionnelle posture réflexive, en venant appuyer la pratique professionnelle quotidienne.
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