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Résumé :
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Les neurosciences sont partout. La connaissance des mécanismes du cerveau peut-elle aider les travailleurs sociaux à mieux prendre en charge les personnes qu'ils accompagnent ? Les organismes proposant des formations dans ce domaine fleurissent, transformant les pratiques professionnelles, mais les travailleurs sociaux y sont encore réfractaires. Que peuvent-elles leur apporter vraiment ? Les thérapies cognitivo-comportementales, fondées sur une rééducation intensive du cerveau, ont pris le pas sur les thérapies par la parole, comme l'illustre l'exemple de l'autisme. Décision sur fonds de controverse.
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