Résumé :
|
La nourriture est un fait social total. Elle révèle les failles multiples des sociétés humaines, mais aussi leurs aspirations : alors que nous nous habituons à vivre avec le virus, il nous faut réinterroger le rapport à la nourriture. Apprendre à mieux manger, c’est respecter les écosystèmes qui nous nourrissent, éduquer nos enfants à déchiffrer le contenu d’une assiette, combattre la malnutrition, désormais induite non plus par des troubles climatiques (ceux-ci viendront, plus tard) mais par une trop importante transformation industrielle de nos aliments.
|