Résumé :
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Mondialement reconnu pour sa croissance exceptionnelle, le Groupe SOS, qualifié de tentaculaire et bénéficiant de financements publics, s'est étendu en "filialisant" plusieurs dizaines d'associations en France. Ses actions sont orientées vers la jeunesse, l'emploi, la santé, les seniors... mais également la culture, la transition écologique et l'international. Un modèle qui permettrait de respecter les projets associatifs mais parfois contesté sur le terrain. Ce géant de l'entrepreneuriat solidaire privatise des établissements publics, notamment les Ehpad. Stratégie peu appréciée des travailleurs sociaux et des usagers. Proche du pouvoir, ce groupe épaule le gouvernement sur des sujets sensibles (radicalisation, migration...) et se place au cœur des mécanismes financiers. Enquête.
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