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Résumé :
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Que ce soit dans le cadre professionnel ou même dans la vie quotidienne, chacun est amené à parler de son activité professionnelle, de son parcours universitaire, de la réalité de son terrain d’exercice. Il n’est pas rare pour les psychologues d’être, d’une part, confrontés aux croyances collectives à propos de son métier (représentations stéréotypées qui ont la dent dure) et, d’autre part, de ne pas expliciter la diversité de ses missions selon les terrains d’activité professionnelle, par économie cognitive pour soi ou pour les autres. La question reste en suspens. Toujours est-il que parler de son travail, c’est parler de soi, et il est rare de pouvoir faire l’impasse sur cette facette de notre identité. Alors pourquoi ne pas prendre le temps de parler de son activité en institution hospitalière autant que de son activité d’enseignement indispensable à la transmission des savoirs ; ou encore de son activité en tant que formateur dans telle ou telle entreprise, parce que nos interventions ne se limitent pas au milieu institutionnel et que l’on peut utiliser ses savoir-faire dans bien d’autres domaines ? [Présentation de l'éditeur]
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