Résumé :
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Après avoir rappelé ce qu’il en est du concept d’ambivalence, l’auteur interroge la dimension idéalisante qui peut parfois imprégner l’idée de parentalité positive et le risque qu’il y aurait à rendre les parents responsables de tout, en oubliant que les médias et la société, par exemple, s’inscrivent inévitablement dans des processus de coéducation et de cosocialisation. Il importe donc de veiller à ce que le soutien à la parentalité ne dérive pas subrepticement vers une mise en cause de l’action des parents et au contrôle d’une parentalité qui serait alors stigmatisée comme négative.
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