Résumé :
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L’éducation positive serait la meilleure des choses, n’était le risque d’y nier ce qui, du positionnement subjectif du parent dans son rapport à l’enfant, est inévitablement empreint d’ambivalence donc animé par bien d’autres sentiments que positifs. Le désarroi actuel des parents conduit certains d’entre eux à se placer sous le joug de nouveaux dogmes éducatifs, voire relationnels. Illusoirement. Car la violence refoulée voire déniée à cette occasion ne manque pas de se manifester, tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre. Aussi le devenir parent – et les étayages dont il relève – doit-il être pensé dans un autre registre que celui des prescriptions de comportement.
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