Résumé :
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L’auteur expose son éthique de la supervision clinique institutionnelle. Pour lui, ces dispositifs doivent aider les équipes à prendre de la hauteur (supervidere) par rapport au réel de leur pratique socioprofessionnelle. La supervision ne saurait être un acte standardisé puisqu’il est nécessaire de travailler dans ce qu’il y a de singulier dans la clinique. Un des buts visés est un allègement de l’impact des situations professionnelles, le sujet en supervision s’en allège par sa participation active à ces espaces du dire, et peu à peu vivra une meilleure conscientisation de son agir professionnel.
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