Résumé :
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À partir de mes expériences de recherche, de travailleur social et de militant, je développe l'idée que pour mieux faire des bénéfices sur le travail social, l'État et les « entrepreneurs sociaux » doivent d'abord le transformer en une grande usine facile à gérer, et les travailleuses et travailleurs sociaux en ouvrières et ouvriers. Pourtant ces réflexions peuvent nous rappeler qu'à ce jeu, l'État a toujours eu du fil à retordre de la part de ce qu'on appelait le « mouvement ouvrier », et qu'on appelle désormais plutôt le « mouvement social ». [Présentation de l'éditeur]
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