Résumé :
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Notre propos s'appuie sur l'expérience singulière portée par l'association AZUR à Nîmes de 1989 à 2013 (conduite par une animatrice sociale auteure de cet article et un Conseil d'administration de femmes habitantes d'un quartier populaire,), dans une démarche d'éducation populaire, soutenue par l'Intervention sociale d'intérêt collectif comme moyen à l'accompagnement des publics fragilisés, vulnérables voire désaffiliés. Cette expérience est un des exemples du travail social et des dispositifs Contrat de ville d'il y a 28 ans jusqu'en 2013 ; le constat est effrayant car les dégradations sont encore plus graves concernant la prise en compte des publics fragilisés et plus particulièrement celle des quartiers populaires depuis et jusqu'à aujourd'hui. La précarité est à un point culminant pour les publics fragilisés sans oublier les professionnels du travail social. [Présentation de l'éditeur]
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