Résumé :
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L’enfant arrive dans un environnement forgé par la personnalité des adultes qui l’accueillent. Il a pourtant cette magnifique liberté d’utilisation des espaces ; bonheur de la découverte au début puis transformation des lieux à sa mesure quand l’âge de la cabane arrive. Une sorte d’évidence entre le je, le jeu et le lieu, un lien immédiat, sans a priori. En tant qu’architecte, j’ai toujours l’impression de chercher cette liberté. Construire, c’est poser les limites, mais au travers de ce jeu infini de l’ombre et de la lumière.
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