Résumé :
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Jusqu’au xxe siècle, les mères et la maternité ont été subordonnées à la « puissance paternelle » ; ensuite, elles ont été soumises au « pouvoir médical ». Mais au-delà des pouvoirs en place, l’intimité de l’amour maternel assurait à la plupart des mères une influence souvent déterminante sur l’avenir de leurs enfants. Aujourd’hui, de nombreuses mères travaillent hors de leur foyer, pour assurer leur autonomie. Mais le Code du travail ne respecte pas leurs obligations familiales. L’accueil et la garde de leurs jeunes enfants posent des problèmes mal résolus. Il devient urgent de repenser la « parentalité » dans son ensemble. Aux mères de savoir faire entendre leurs revendications spécifiques.
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