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Résumé :
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Il y a de nombreux parents et de nombreux enfants dans les livres avec des mots et des images publiés par les éditeurs jeunesse. Les histoires de familles y sont omniprésentes, mettant en scène toutes sortes de mères, de pères, toutes sortes de masculin, de féminin, toutes sortes d’hommes, de femmes, toutes sortes de parents… Mais tous les albums ne se valent pas. Nombreux sont ceux qui proposent des modèles. Devenus des manuels de bonne ou d’anti-conduite, ils envahissent le marché. Ils font consensus, et pourtant ils ne servent ni la littérature, ni la lecture, ni les lecteurs, ni les enfants, ni les parents, ni la réflexion, ni la société. D’autres font œuvres. Ils développent nos imaginaires, éveillent nos désirs, donnent à rêver et à penser. Il est urgent d’agir en lisant de la littérature. Il est urgent de transmettre partout et en tous lieux la nécessité de lire, de réfléchir, de penser.
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