Titre : | La bientraitance : comment prendre soin au quotidien ? (2017) |
Auteurs : | Alexandra Marquet, Auteur ; Anne Rouze, Auteur ; Philippe Giafferi, Auteur ; et al., Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Doc'accompagnement (n° 8, mars-avril 2017) |
Article en page(s) : | pp. 7-17 |
Langues: | Français |
Catégories : |
[Agneaux] Dépendance [Agneaux] Éthique [Agneaux] Formation [Agneaux] Personne âgée |
Mots-clés: | MALTRAITANCE / PRATIQUE PROFESSIONNELLE / SOIN / EQUIPE SOIGNANTE / ETABLISSEMENT SOCIAL ET MEDICOSOCIAL / ACCOMPAGNEMENT / BIEN-ETRE / MALADIE D'ALZHEIMER / PERSONNE HANDICAPEE / DROITS DES USAGERS / DIRECTEUR D'ETABLISSEMENT / PROJET DE VIE / EVALUATION / ANESM / BIENTRAITANCE / VULNERABILITE |
Résumé : | La bientraitance est en marche dans les établissements médico-sociaux depuis plusieurs années... même s'il est difficile de dire quel a été le déclic. La loi de 2002, les évaluations internes et externes, les recommandations (notamment de l'Anesm), le retentissement médiatique des affaires, les politiques européennes. Cependant, toutes ces raisons ont contribué à faire évoluer les cultures et les pratiques professionnelles. Si pendant longtemps, on a davantage parlé de maltraitance, désormais c'est la bientraitance qui est sur le devant de la scène, grâce à l'engagement des professionnels. Derrière ce terme de la bientraitance se cache une prise en soin individualisée et adaptée aux besoins des personnes vulnérables. En clair, chaque intervention doit être centrée sur la personne et ses particularités.Pour y parvenir, la formation et la nécessaire organisation des analyses de la pratique professionnelle sont des conditions sine qua non à un accompagnement bientraitant qui reste incompatible avec la routine, le quotidien et surtout le manque de questionnements.La bientraitance n'est pas une norme de plus, une contrainte... elle est avant tout un outil d'amélioration des pratiques. Dans cette quête du mieux accompagner, chaque professionnel joue un rôle individuel même si cette philosophie bienveillante s'appuie forcément sur le collectif, que ce soit les associations gestionnaires, les groupes, les directions, les cadres et les professionnels de terrain. Chacun a un rôle à jouer pour réagir en cas de manquement à la bientraitance. (...) [Extrait de la présentation de l'éditeur] |